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Empowering Men:fighting feminist lies |
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Le Sexe, les mensonges et le féminismepar Peter ZohrabTraduit de l'édition en anglais de 1999 par l'auteurChapitre 4: La Violence familiale et l'attrappe aux hommes |
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(Attention! BIBLIOGRAPHIE SUR LA VIOLENCE FAMILIALE)
«Attaque au marteau se retourne
Une femme a été emmenée à l'hôpital hier soir avec des saignements abondants à la tête après avoir attaqué son mari avec un marteau, ... a indiqué la police. Son mari s'etait protégé avec un couvercle de poubelle et le marteau avait rebondi, et avait frappé la femme à la tête. Aucune accusation sera portée. - NZPA (agence de presse néo-zélandaise)»
Nous avons tous entendu parler du «syndrome Battered Woman» qui trouve son origine avec ce livre .... «The Battered Woman» n'est pas adéquat comme oeuvre sérieuse, et totalement inacceptable en tant que fondement de droit familiale. Tout d'abord, il manque profondément de qualités scientifiques. Sans vérification objective des incidents décrits ici, ils ne sont que de l'ouï-dire. Deuxièmement, le livre ne fait même pas semblant d'être objectif: le parti de la femme est présenté, et rien que le parti de la femme n'est présenté, tandis qu'il est indéniable que dans un grand pourcentage de cas , la femme initie la violence contre l'homme. Troisièmement, la définition élargie de Prof Walker de «coups», qui inclut la violence verbale, n'aborde même pas la question de la violence verbale des femmes contre les hommes. En quatrième lieu, il n'y a aucune raison que ce soit de croire que l'échantillon de professeur Walker des «Battered Women» soit en quelque sorte un échantillon représentatif, et même s'il l'était, elle ne présente pas de statistiques à l'appui de ses conclusions. En fait, la plupart de ses conclusions sont tout à fait sans fondation de n'importe quel type de données objectives, et sont simplement prononcées ex-cathedra.
«Personne n'est autorisé à recourir à l'intimidation, aux menaces, ou aux jeux de l'esprit pour faire du mal et pour contrôler une autre personne.» (C'est moi qui souligne)
«De: lizkates@delphi.com (Liz Kates)
Sujet: battre sa femme
Date: mardi le 4 octobre 1994, 00:37:09 -0500
LA VIOLENCE DES MARIS CONTRE SA FEMME
«LA VIOLENCE FAMILIALE est un acte CRIMINEL ... qui blesse ou qui tue un membre d'une famille ou un membre d'un ménage, commis par un autre qui est ou a été résidant dans le même logement séparé. Voir, par exemple FS 741.30 (1) (a).
S'il n'y a pas de résultat, les revendications concernants qui aurait fait quoi à qui ne sont pas pertinents en ce qui concerne la loi.
Si Hepburn gifle Tracy sur le visage, comme incident isolé, avec aucun résultat particulier, et indépendamment de ce que l'on pense de ce comportement, ce n'est pas ce que la loi entend par «la violence familiale». La «violence conjugale» ne consiste pas en des actes isolés de «tactiques de conflit» dans le vide.
Un époux battu est une personne qui peut être contrôlée et terrorisée par une combinaison de tactiques abusives, et directement physiques et pas. Il y a un motif et une dynamique dans la relation dans laquelle l'une des parties est celle qui est mal traitée, défavorisée et blessée - 95% du temps, c'est la femme. Compter le nombre de gifles sans regarder la dynamique entière de la relation, cela ne nous dit pas qui est l'agresseur et qui est la victime.
Le «Conflict Tactics Scale» de Straus et de Gelles n'est qu'une graduation des tactiques de conflit: il s'agit d'un outil de recherche qui compte certains comportements qui pourraient être des «tactiques de conflit», mais le décompte de qui a bougé quand et comment ne s'accorde pas nécessairement avec la définition légale de la violence familiale, et ne donne non plus une image précise de ce qui s'est réellement passé. Et les comportements conflictuels individus qui y sont énumérés arbitrairement selon les différents niveaux de «gravité» ne possèdent aucun rapport nécessaire à qui a été blessé, et n'identifient non plus laquelle des deux parties est la partie «abusée».
Des mouvements et des contacts physiques suivis et signalés sans référence aux résultats sont trompeurs, et tout à fait frauduleux lorsqu'ils sont utilisés pour faire l'affirmation spécieuse que «les femmes le font aussi». Les femmes ne battent pas leur mari dans des proportions épidémiques. Les femmes ne rossent pas régulièrement leurs hommes, et en les laissant accroupis, recroquevillés, blessés et sanglotants (ou pire) sur le plancher de la cuisine. Les hommes ne fuient pas leur foyer, les enfants en remorque. Les hommes ne sont pas les conjoints qui vivent dans la terreur.»
«Section 3. SENS DE..« Violence familiale »-
(1) Dans la présente loi, la «violence familiale», par rapport à toute personne, signifie la violence contre cette personne par une autre personne avec laquelle cette personne est, ou a été, dans une relation familiale.
(2) Dans cette section, la «violence» signifie -
(a) La violence physique:
(b) Les abus sexuels:
(c) La violence psychologique, y compris, mais sans s'y limiter -
(i) l'intimidation:
(ii) le harcèlement:
(iii) les dommages à la propriété:
(iv) Les menaces de violence physique, d'abus sexuel, ou de violence psychologique:
(v) En ce qui concerne un enfant, l'abus du genre énoncé au paragraphe (3) du présent article.»
«Qui est-ce [au téléphone]!» exige-t-il. Elle l'ignore, chuchotant à la hâte: «Je dois y partir maintenant ...» «DONNE-MOI cet appareil!» crie-t-il. «Qui était-ce!» «C'était un collègue.» Il compose retour d'appel. Ce n'est pas le cas. «Quelle SALOPE menteuse et pleurnicheuse» crie-t-il, et, tirant l'appareil hors du mur, il le jette contre le mur. «DIS MOI TOUT DE SUITE QUI C'ÉTAIT!» hurle-t-il, s'avançant vers elle. Il ramasse un petit vase en verre que sa grand-mère lui avait donné et le soulève très haut. «Non, donne-moi ça!» se plaint-elle en pleurnichant. «C'ÉTAIT QUI À L'APPAREIL!!!» Elle saisit son bras pour sauver le vase, et il le tient hors de sa portée. [Elle a commencé la violence, selon le principe de qui était le premier à toucher l'autre.] Fracassement, le vase se brise en mille petits fragments. «Cochon» marmonne-t-elle, presque inaudible. «QU'AS-TU DIT! RÉPÈTE, SALOPE!» crie-t-il. Elle s'accroupit au sol, en essayant de ramasser les fragments de verre. Il la saisit à la partie supérieure du bras, et la mis debout. Elle libère son bras à pleine force, et, quand il essaie encore une fois de la saisir, elle pousse son avant-bras loin d'elle. [Échelle des Tactiques de Conflit: un saisissement à chacun, plus une poussée à elle] «JE VEUX SAVOIR QUI ÉTAIT À CET APPAREIL!» hurle-t-il, en bas, tout près de son visage, et elle recule. «Personne...» «QUELLE CHATTE MENTEUSE ET STUPIDE!!» crie-t-il, et la pousse d'une force qui la jette jusqu'au coin du mur, sa tête porte sur le mur...[Échelle des Tactiques de Conflit: deux à deux. Rien qu'un combat juste ... siloin ...]»
«Alors, emmenez votre famille, battez votre mari (souligné par moi), emmenez même votre grand chien danois, mais ne manquez pas de voir Full Marx!»
La Bande dessinée