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Empowering Men:fighting feminist lies |
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Le Sexe, les mensonges et le féminismepar Peter ZohrabTraduit de l'édition en anglais de 1999 par l'auteurChapitre 13: L'Indoctucation pratiquée par le complexe Média-universitaire |
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1. Les Mensonges au sujet de l'oppression
Dans une forêt, un homme avec une scie à chaîne est fortement dépassé en nombre par les arbres - mais qui a le pouvoir réel? Dans une société démocratique et libérale bien ordonnée, les membres individuels typiques du groupe majoritaire, ou soi-disant dominant, ont moins de pouvoir que les membres individuels typiques des groupes de pression commerciaux et politiques bien organisés, tels que les groupes de pression de la rectitude politique.
La rectitude politique est l'idéologie dominante parmi les couches dirigeantes indoctuquées aux pays occidentaux. En utilisant le terme «indoctuqué», je veux simplement dire que les systèmes d'éducation et des médias aux pays occidentaux (le Complexe Média-Universitaire, ou MUC) ont une connotation forte de l'endoctrinement en certaines valeurs. Les gens qui ont obtenu leur diplôme d'un établissement d'enseignement supérieur ont été soumis à la plus grande quantité d'indoctucation MUC, et sont donc considérés comme aptes à prendre le contrôle de l'éducation, des médias, et des départements gouvernementaux qui perpétuent cette idéologie.
2. Le Biais aux universités
L'influence des universités ne doit pas être négligée. Les universités sont des lieux qui, sans doute, prétendent qu'ils enseignent les connaissances et les compétences, et qui le font en effet. Cependant, ils sont aussi des lieux où les valeurs sociales et politiques sont inculquées, par la socialisation en groupes de pairs et par l'agitation politique, ainsi que par le biais du contenu et de la livraison des cours lui-même.
Dans la mesure où les étudiants sont financés par des subventions étatiques et où les professeurs sont employés de l'État, les universités ont tendance à considérer l'Etat comme fournisseur et dépensier de l'argent -- c'est à dire un point de vue essentiellement gauchiste. Pour certains lecteurs, il peut être choquant de se rendre compte qu'il soit possible de voir l'État principalement comme collecteur d'impôts, ce qui est la manière dont elle a tendance à apparaître au secteur auto-emploi, en particulier, et aux employés du secteur privé en général.
Donc les étudiants ont tendance à voyager à travers l'université et d'en sortir à la fin de leur voyage avec le message clair:
GAUCHE = BON; DROITE = MAUVAIS.
Voici un exemple de l'influence de ce message subliminal: À l'ancienne Union Soviétique, il ya quelques années, il y a eu un coup d'Etat contre le président Gorbatchev par la vieille garde Communiste. Il a été décrit par certains lecteurs d'informations occidentaux 1 comme «coup d'Etat de droite». Cette description était, bien sûr, tout à fait absurde, parce que les Communistes étaient de loin plus «gauches» que Gorbatchev.
La raison de cette erreur est que les décideuses à la radio étaient politiquement correctes, et savaient que «droit» = «mauvais». Elles savaient aussi que les coups d'Etat étaient mauvaises. Il était donc presque inévitable qu'elles décrivent tout coup d'Etat comme étant «de droite». Dans les émissions que j'ai entendues plus tard, elles avaient tendance à modifier la description de ce coup d'Etat de «droite» à «conservateur» -- un terme qui est seulement un peu moins trompeur.
Toute personne qui ait peur (et c'est une crainte réelle pour de nombreux bourgeois) d'être étiquetée «à droite de Gengis Khan» devrait garder à l'esprit le fait qu'elle peut tenir ses ennemis polémiques à distance en suggérant qu'ils soient «à gauche de Pol Pot.»
Le Cambodge (Kampuchea) de Pot a également été gouverné en utilisant une idéologie de la rectitude politique, mais l'état rudimentaire du Complexe Média-Universitaire dans ce pays a forcé Pol Pot à utiliser des méthodes plus directes et brutales pour imposer sa marque particulière de rectitude politique. Il est intéressant de mentionner ici que Pol Pot a développé ses idées pendant ses études à une université française.
3. Les Distorsions de la rectitude politique
Il y a trois problèmes principaux avec la désignation politiquement correcte de groupes opprimés qui est faite par le MUC:
Bien que les Féministes dominent les pouvoirs établis avec leur propagande, les Masculistes n'ont qu'un faible espoir d'être considérés comme un groupe de protestation de gauche. C'est parce que les Féministes font partie de la coalition de gauche des groupes qui forme l'épine dorsale des partis de gauche aux pays occidentaux. Ce fait entraîne les Masculistes à trouver des alliés à droite, mais pas nécessairement à l'extrême droite.
Et il y a aussi le problème que la rectitude politique est devenue une corne d'abondance économique et politique, et tous les groupes imaginables font la queue pour obtenir sa part du butin politique et financier qui est disponible de cette corne d'abondance. Certains groupes de personnes handicapées, tels que les sourds, ont même commencé à affirmer que leur handicap est une forme d'oppression par la majorité valide -- afin d'assurer leur place dans la Coalition de l'Arc-en-ciel qui exerce un tel pouvoir vis-à-vis les médias et les coffres de l'État.
Les hommes riches, hétérosexuels, anglo-saxons, valides tolèrent ce processus de ciblage des ressources par acquit de conscience. Ils ont peu de sympathie avec les hommes pauvres, hétérosexuels, anglo-saxons, valides (les PHAMs), parce qu'ils sont en concurrence avec eux. Ils ont besoin de quelqu'un qu'ils peuvent mépriser, afin de se montrer dans quelle mesure ils sont arrivés, et les PHAMs sont convenables. Il n'est pas socialement acceptable (dans certains milieux, en tout cas) de mépriser les «groupes défavorisés», d'après la définition du dogme de la rectitude politique.
Les PHAMs ne se présentent pas en groupe dehors du Congrès ou du Parlement en brandissant des banderoles. Mais beaucoup pensent probablement que le processus de désignation est injuste. Sans doute ils n'apprécient guère la façon dont les groupes désignés utilisent leur «gravité» pour plier la vérité et pour obtenir un traitement favorisé.
Au Mouvement des Hommes il y a un certain ressentiment du fait que la seule catégorie d'hommes qui puisse attirer de la publicité et de l'argent pour leurs problèmes de santé sont les hommes homosexuels -- pour la recherche, la publicité et le traitement du sida. Il serait bon si le mouvement des hommes pouvait exploiter cette influence homosexuelle politique pour améliorer l'ensemble de la santé masculine. Malheureusement les homosexuels sont considérés par les militants du Mouvement des Hommes comme étants étroitement alliés aux Féministes et hostiles à la famille traditionnelle. Il y a aussi le problème de l'homophobie chez certains militants.
En outre, ils sont probablement irrités des hommes aisés blancs qui choisissent une philosophie de la rectitude politique à cause de sentiments de culpabilité ou à cause de leur carrière. Quiconque veut faire une carrière universitaire ou veut obtenir de l'avancement dans la fonction publique doit vendre son intégrité au diable de la rectitude politique et s'attirer les bonnes grâces de tous les groupes désignés. Ceci donne aux membres des groupes désignés de la puissance de chantage. Les hommes pauvres de race blanche sont, à certains moments, de nature à avoir marre de cette hypocrisie et de cette iniquité, et l'on peut s'attendre à ce que c'est là où les Hitlers prétendus modernes vont trouver leur soutien de base.
L'action affirmative (la discrimination positive) implique des systèmes de quotas pour les inscriptions universitaires, ou bien pour les emplois à la fonction publique, etc.. Il y a des gauchistes qui admettent qu'elle est injuste pour les personnes qui auraient de justesse gagné ce qu'ils désiraient dans un système impartial, mais qui sont du mauvais sexe ou de la mauvaise race, etc. pour qualifier pour un quota. Ces gauchistes sont en faveur de ce système raciste et sexiste (etc), en raison de ses effets sociaux à long terme supposés -- et aussi parce que leurs propres enfants sont probablement assez brillants, ou assez bien apparentés, pour pouvoir réussir dans la vie de toute façon !
La classe à laquelle appartiennent ces libéraux trouve la croissance de l'extrémisme de droite inexplicable. La raison pour laquelle elle ne peut pas la comprendre, c'est que cette classe contribue par ses propres actions à créer de l'extrémisme de droite!
La rectitude politique a de vrais victimes. Les victimes de la rectitude politique sont les catégories de personnes qui sont définies par cette idéologie comme étant les «oppresseurs» parce que les «oppresseurs» sont transformés en boucs émissaires par la rectitude politique, et ils peuvent être persécutés avec la bénédiction des pouvoirs établis. Je ne nie pas pendant une seule seconde que ces oppresseurs puissent en effet avoir été coupables d'une certaine forme d'oppression. Ce que je veux dire, c'est que tous les groupes ont tendance à opprimer tous les autres groupes, s'ils en ont l'occasion, et la rectitude politique fonctionne comme un rideau de fumée devant certaines formes d'oppression, en supposant que seuls des groupes boucs émissaires particuliers sont capables de pratiquer l'oppression.
Les majorités ethniques sont beaucoup plus réticentes à céder leurs droits à des minorités ethniques que les hommes le sont à céder leurs droits aux femmes. Et je ne connais pas de façon significative dans laquelle les hétérosexuels ou les personnes valides sont effectivement victimes de discrimination -- à part d'être limités dans la franchise avec laquelle ils peuvent exprimer leur haine ou leur gêne au sujet de ces personnes, et à part d'être soumis au chantage affectif, chantage de carrière ou au harcèlement des «tests» de leurs attitudes à l'égard de tels individus. Par conséquent, parce que le machisme et la chevalerie rendent les hommes enclins à céder à même les plus faibles des revendications féministes au statut de «victime», ce sont les hommes -- surtout -- qui sont les victimes de l'indoctucation du MUC en rectitude politique aux pays occidentaux, à mon avis.
Les lois occidentales des «droits de l'homme» n'aident souvent pas beaucoup, en pratique, en ce qui concerne les droits de l'homme tels que la liberté d'expression, le traitement équitable, et ainsi de suite. La Human Rights Commission de la Nouvelle-Zélande, par exemple, a un accent sur les «groupes désignés» -- des ensembles de personnes qui sont désignés par le Parlement comme étant opprimés ou défavorisés. Les objectifs de cette approche sont très louables. L'objectif principal est d'éviter une situation où les groupes minoritaires seraient des boucs émissaires, et opprimés par la majorité. Le cas le plus classique, le prototype, le cas que l'on a le plus fait connaître (à plusieurs reprises) c'est, bien sûr, l'Allemagne Nazie.
L'Allemagne Nazie a persécuté les Juifs, mais cela ne signifie pas que les Juifs étaient nécessairement complètement innocents en tous points. Les Nazis pensaient qu'ils étaient la Race Maître -- mais les Juifs croyaient qu'ils étaient le peuple élu de Dieu. Pour autant que je puisse voir, les deux idées sont tout aussi racistes. Cela n'excuse pas du tout ce génocide, mais il va dans le sens de l'expliquer. Certains membres de tous les groupes ethniques sont racistes, dans une certaine mesure -- mais ce n'est que le racisme de l'ethnie dominante Blanche dans un pays occidental qui attire beaucoup de publicité ou de l'auto-flagellation.
Ce qui se passe aux pays occidentaux est que les minorités ethniques qui sont discriminatoires régulièrement les uns des autres à leur pays d'origine unissent leurs forces pour faire valoir leurs droits contre la majorité à leur pays d'adoption. La majorité dans leur nouveau pays de résidence les groupe ensemble comme étants des «Africains», «Latino-Américains», «Insulaires du Pacifique » ou «Asiatiques», et c'est comme ça qu'ils commencent à penser d'eux-mêmes. Cela arrive aussi à d'autres groupes tels que les Néo-Zélandais et les Australiens à l'étranger. Ils se trouvent regroupés comme «Coloniaux», «Antipodéains», ou quoi que ce soit, et ils finissent par passer sous silence ce qui les divise, et se concentrer sur ce qu'ils ont en commun. À la maison, d'autre part, ces deux nations s'engagent dans une rivalité continue -- mais amicale, pour la plupart.
La majorité dans une démocratie libérale ne peut exercer son pouvoir collectif que lors des élections (une fois tous les trois/quatre/cinq ans), et lors des référendums. Et, même lors des élections, elle ne peut pas choisir les politiques individuelles -- rien que des paquets de politiques, enveloppés dans les manifestes des partis. Les membres individuels de la majorité peuvent faire de la discrimination contre les minorités -- et le font en effet -- dans les domaines telles que le marché du travail et ainsi de suite -- mais les membres individuels des minorités peuvent également être discriminatoire à l'égard des membres de la majorité et des autres minorités aussi. Certaines minorités ont un revenu moyen supérieur à celui de la majorité, à de nombreux pays, et ceci donne à ces minorités de la puissance dans les coulisses.
Entre les élections, ce sont les groupes de pression, les médias, la bureaucratie, le Président ou le Premier Ministre, le Cabinet, le caucus du gouvernement et le Congrès ou le Parlement qui ont le pouvoir réel. Et les Présidents, les Premiers Ministres, et les cabinets, comme nous le savons, n'agissent pas toujours en conformité avec les manifestes pour lesquels l'électorat a voté.
Il est vrai que les membres des minorités rencontrnt la domination des valeurs et des symboles de la majorité dans de nombreux aspects de leur vie quotidienne. Les membres des minorités ont tendance à trouver cela agaçant, car ils trouvent leurs propres valeurs et symboles plus attrayants et même supérieurs à ceux de la majorité, qui leur est étrangère. C'est l'expérience commune des expatriés de tous les types dans tous les pays. Les majorités ont également des sentiments semblables à l'égard des minorités qui habitent parmi elles, bien sûr, qui sont beaucoup mieux médiatisés.
4. Qu'est-ce que l'oppression?
Le livre d'Iris Young «Polity and Group Difference: A Critique of the Ideal of Universal Citizenship» est une discussion intéressante de certaines questions fondamentales, à partir d'un point de vue féministe. Ce qui tend à me frapper quand je lis de tels essais n'est pas tant ce qui est affirmé, que les hypothèses tacites cachées derrière des mots tels qu'«émancipatrice», «opprimés», etc. Ces hypothèses sont ce que je veux examiner et interroger, autant que la vérité des assertions elles-mêmes qui sont faites dans les écrits féministes.
Ce qui est intéressant (étonnant, plutôt) à Iris Young c'est que c'est une Féministe qui analyse (au moins une partie de) ses hypothèses de manière lucide.
«Avec l'égalité conçue comme similitude, l'idéal de la citoyenneté universelle porte au moins deux significations en plus de l'extension de la citoyenneté à tout le monde: (a) l'universalité définie comme générale et non pas particulière; ce que les citoyens ont en commun, par opposition à la façon dont ils diffèrent , et (b) l'universalité dans le sens des lois et des règles qui disent la même chose pour tous et s'appliquent à tous de la même manière; des lois et des règles qui sont aveugles aux différences individuelles et de groupe.» (Op. cit., 117)
Sa critique de la philosophie au-dessus est en quelque sorte une justification rétrospective d'un processus qui est déjà bien en cours aux pays occidentaux -- un processus qui (dirais-je) a conduit à des injustices envers les hommes (entre autres). Donc il est utile de suivre le cours de son argumentation et de l'évaluer dans le contexte des conséquences de la mise en œuvre effective des idées qu'elle préconise.
L'argument de base de Young c'est que la citoyenneté universelle est très bien et bon en soi, mais qu'elle n'est pas une panacée pour tous les maux sociaux, bien que Young ne s'exprime pas en ces mots. La façon dont elle élabore effectivement sa thèse est qu'elle prétend que certaines tendances politiques (qu'elle semble considérer comme conséquences de la notion de citoyenneté universelle) sont «en tension avec» d'autres aspects de cette notion.
«En premier lieu, l'idée que les activités de la citoyenneté expriment ou créent une volonté générale qui transcende les différences particulières de l'appartenance, de la situation et de l'intérêt des groupes a en pratique exclus des groupes jugés pas capables d'adopter ce point de vue général; l'idée de la citoyenneté comme l'expression d'une volonté générale a eu tendance à appliquer une homogénéité aux citoyens .... Ainsi je soutiens que l'inclusion et la participation de chacun dans le débat public et la prise de décision exigent des mécanismes de la représentation des groupes. Deuxièmement, où des différences de capacité, de culture, de valeur et de style de comportement existent entre les groupes, mais certains de ces groupes sont privilégiés, le respect strict donné à un principe d'égalité de traitement tend à perpétuer l'oppression ou le désavantage.» (page 118)
Ce que Young propose, en effet, est une société de groupes de pression (une société composée d'une compétition entre des groupes de pression) -- tout-à-fait le contraire du concept du «melting-pot». Elle prétend que, étant donné que certains groupes sont relativement privilégiés et d'autres sont opprimés, une structure politique fondée sur l'universalité ne fait que renforcer cette inégalité.
Mes réserves fortes au sujet de sa proposition sont fondées sur les faits que:
«En bref, un groupe est opprimé quand un ou plusieurs des conditions suivantes se produit à tous ses members ou à une grande partie de ses membres: (1) les avantages de leur travail ou de leur énergie vont aux autres sans que ces autres fassent du bien à eux réciproquement (l'exploitation); ( 2) Ils sont exclus de la participation dans les grandes activités sociales, ce qui, dans notre société, est d'abord un lieu de travail (marginalisation); (3) ils vivent et travaillent sous l'autorité d'autrui, et disposent de peu d'autonomie au travail et peu d'autorité sur les autres (impuissance) ; (4) en tant que groupe, ils sont stéréotypés en même temps que leur expérience et leur situation sont invisibles géneralement dans la société, et ils ont peu de chance et peu de public pour l'expression de leur expérience et leur point de vue sur les événements sociaux (l'impérialisme culturel) ; (5) les membres du groupe souffrent de la violence aléatoire et le harcèlement motivés par la haine ou par la peur du groupe». (Young 1990, p. 128)
«J'affirme donc le principe suivant: un public démocratique, quelque soit sa composition,
devrait prévoir des mécanismes pour la représentation effective et la reconnaissance de la voix et des perspectives distinctes de celles de ses groupes constitutifs qui sont opprimés ou défavorisés en son sein. Une telle représentation des groupes implique des mécanismes institutionnels et des ressources publiques en faveur de trois activités: (1) l'auto-organisation des membres du groupe afin qu'ils acquièrent un sens de la responsabilisation collective et une compréhension réflexive de leur expérience et intérêts collectives dans le contexte de la société; (2 ) l'expression de l'analyse d'un groupe de la façon dont les propositions de la politique sociale les affectent, et la génération de propositions de politiques par eux-mêmes, dans des contextes institutionnalisés où les décideurs sont tenus de démontrer qu'ils ont pris ces perspectives en considération; (3) un droit de veto sur les politiques spécifiques qui affectent un groupe directement, par exemple, les droits reproductifs pour les femmes, ou l'utilisation de terres de réserve pour les Amérindiens.» (pages 128-129)