Home > Sex, Lies & Feminism > Le Sexe, les mensonges et le féminisme > Chapitre 14: L'Illusion du décideur

The Black Ribbon Campaign

Empowering Men:

fighting feminist lies

Le Sexe, les mensonges et le féminisme

par Peter Zohrab

Traduit de l'édition en anglais de 1999 par l'auteur

Chapitre 14: L'Illusion du décideur

Home Page Articles about Issues 1000 links
alt.mens-rights FAQ Sex, Lies & Feminism Quotations
Male-Friendly Lawyers, Psychologists & Paralegals Email us ! Site-map

 

«The Frontman Fallacy (L'Illusion du décideur)» est un terme je me suis inventé. Ce qui est arrivé c'est que quelqu'un qui était dans le groupe de discussion Usenet alt.mens.rights a demandé de l'aide dans l'élaboration d'un terme. Le terme devrait encapsuler la fausseté d'une hypothèse commune Féministe. Ce fut l'hypothèse que le fait que les hommes détenaient la plupart des positions de pouvoir dans le monde signifiait que les hommes dominaient le monde principalement pour leur propre bénéfice -- c'est à dire qu'ils «opprimaient» les femmes.

Ma suggestion, qui a été acceptée par la personne qui avait demandé de l'aide, était «The Frontman Fallacy».  Ainsi, L'Illusion du décideur est la croyance erronée que les gens (les hommes, en particulier) qui sont en position d'autorité dans les systèmes démocratiques utilisent leur pouvoir principalement au profit des catégories de personnes (la catégorie des «hommes», en particulier) auxquelles ils appartiennent eux-mêmes .

Kate Millett est un nom très important dans l'histoire intellectuelle du féminisme moderne. Je voudrais ici examiner les hypothèses de base de Millet un peu plus près qu'elle le fait elle-même.

«Si l'on présume que le gouvernement patriarcal est l'institution selon laquelle la moitié de la population qui est féminine est contrôlée par la moitié qui est de sexe masculin, les principes du patriarcat semblent être double: le masculin doit dominer le féminin, et le masculin aîné doit dominer le plus jeune.» (Millett , Kate 1972: «Sexual Politics» Londres:.. Abacus page 25).

C'est ça la définition de Kate Millett du patriarcat. Le point crucial, comme je le vois, c'est la notion de «contrôle». Ce que Millett entend par ce terme est clarifié comme suit:

«... notre société ... est un patriarcat.   Ce fait est évident tout de suite si l'on rappelle que le militaire, l'industrie, la technologie, les universités, la science, les postes politiques, et la finance -- en bref, toutes les avenues du pouvoir au sein de la la société, y compris la force coercitive de la police est entièrement entre les mains des hommes» (ibid., page 25).

Il est une bonne règle pratique, si l'on veut chercher les faiblesses dans l'argumentation de quelqu'un, qu'on doit chercher des phrases commençant par des mots tels que «de toute évidence», «évident» ou «évidemment». Ce sont précisément les hypothèses faibles que l'écrivain/le parleur a besoin d'appuyer avec des mots qui semblent sûrs.

Dans ce cas, la faiblesse est que le fait d'un grand nombre d'hommes dans ces professions n'implique pas logiquement qu'ils «contrôlent» les femmes, pas plus qu'ils contrôlent les autres hommes. Les hommes constituent la majorité dans de nombreuses professions à très faible statut, ainsi que dans celles à haut-statut. Ce qui est plus important encore est le fait que, si la «la force coercitive de la police» est dirigée principalement contre les femmes, pourquoi est-ce que ce sont les hommes qui constituent l'écrasante majorité de ceux qui sont arrêtés par la police?

La thèse générale est que les Féministes supposent que les hommes servent toujours de leurs propres intérêts plutôt que ceux des femmes. Ce n'est pas, en fait, le cas.  Mais, d'autre part, il semble être vrai que, quand les Feminazis marquent une victoire politique, elles utilisent leur pouvoir nouvellement acquise presque toujours au profit des femmes exclusivement. C'est à cause de leur complexe de persécution.

On pourrait même faire valoir que les pays démocratiques sont en fait des matriarcats, et que les hommes politiques sont des serviteurs payés des Féministes. Le test décisif serait alors de savoir si les politiciens (qui sont surtout des hommes) auraient adopté des lois qui favorisent les intérêts des hommes plus que les intérêts des femmes. Et l'histoire des deux cents dernières années à l'Occident est truffée d'exemples de gouvernements principalement masculins qui ont adopté des textes législatifs qui ont fait plus de bien aux femmes qu'aux hommes.

Il est vrai que la plupart des décideurs dans les institutions politiques de la société ont eu tendance à être des hommes. Mais ils n'ont généralement pas agi uniquement dans l'intérêt des hommes, ou uniquement au détriment des intérêts des femmes. Au contraire -- ils ont tendance à agir sévèrement contre les intérêts des hommes, et en faveur des intérêts des femmes.

Pour cela, il ya deux raisons:

Les décideurs mâles sont soumis à la pression des femmes individuelles (des amies, des membres de la famille, etc), ainsi que des groupes de pression des femmes. Le Féminisme a créé le slogan «Le Privé est politique», et cela a changé un grand nombre de chambres en champ de bataille, ce qui a forcé de nombreux décideurs mâles à choisir entre leur mariage et leurs principes. Est-ce que le nom de Hillary Clinton sonne les cloches à cet égard?  En ce qui concerne les groupes de pression, il faut se rappeler que les groupes de pression des droits des hommes sont peu nombreux, donc les groupes de pression dans la zone du genre ont essentiellement été seulement des groupes de pression des femmes. Donc les décideurs mâles reçoivent une marée de pression extrêmement unilatérale dans ce domaine.

Le féminisme s'est cloué sur le dos de la gauche en général, et du marxisme, en particulier. C'est la partie du spectre politique qui aime utiliser le mot «oppression». Il est certainement exact que les différents groupes ethniques et sociaux «oppriment» des autres groupes ethniques et sociaux dans le monde entier -- à des degrés divers, et de différentes manières.  Mais la relation entre les hommes et les femmes est beaucoup plus coopérative que la relation entre les groupes ethniques -- parce que les hommes et les femmes ont (encore) besoin les uns des autres pour produire et élever une famille. Les groupes ethniques ne sont généralement pas si indispensable aux autres.

Donc l'application de la modèle de «l'oppression» aux relations hommes-femmes n'a été possible académiquement que par l'intimidation des hommes intelligents jusqu'a l'acquiescement -- en leur faisant s'inquiéter au sujet de leur carrière ou de leur mariage en cas d'un désaccord publique. Ainsi, le domaine des Etudes des Femmes a été isolé de la nécessité de devenir vraiment académique, plutôt que purement polémique.

En fait, il ya une contradiction réelle entre les approches marxistes et Féministes à la notion du pouvoir politique. Le marxisme définit un «capitaliste», comme étant quelqu'un qui gagne de l'argent *de l'argent mème* -- c'est-à-dire en gagant de l'argent directement ou indirectement du travail d'autrui, plutôt que de son propre travail productif.

Les capitalistes utilisent leur argent pour influencer le système politique -- y compris les décideurs, qui ne sont généralement pas eux-mêmes des capitalistes. Les Marxistes n'indiquent pas la classe d'où vient un décideur pour prouver qu'il prenne des décisions en faveur de cette classe-là.  Les Marxistes considèreraient cette méthode comme un peu naïve et simpliste.

Le Féminisme, en revanche, s'appuie fortement sur L'Illusion du décideur. Les Féministes soulignent le nombre des décideurs mâles comme preuve que le système politique fonctionne en faveur des hommes. Cette méthode est extrêmement superficielle, et elle n'a pu être popularisée qu'en raison du manque d'intelligence, d'objectivité et d'influence masculine dans le domaine de l'Étude du Genre.

Une similitude qui existe entre les religions et les idéologies telles que le Féminisme ou le Marxisme, c'est qu'elles sont compatibles avec plus ou moins n'importe quel état des choses dans le monde réel. Tous les théologiens et tous les idéologues qui valent leur sel savent expliquer n'importe quel événement naturel comme n'ayant aucun rapport avec leurs croyances, et donc comme étant compatible avec elles. Cependant, les religions ont une immondalité qui leur donne une plus grande durée que les idéologies.  Les gouvernements et leurs idéologies ont tendance à être plus souvent blâmés que les religions des échecs politiques, économiques et militaires.

Les idéologies, par conséquent, naissent et périssent. Le Marxisme n'est plus l'idéologie d'état qu'il était auparavant dans de nombreux pays. D'autres pays ne sont Marxistes que de nom. Le Féminisme est venu, et existe depuis quelques siècles (plus longtemps que le Marxisme). Il va certainement être affaibli par la quas-disparition du Marxisme, en raison de l'alliance de facto que les deux idéologies ont construite.

Le féminisme souffre aussi du fait que la mentalité qui cherche des victimes de l'oppression (typiquement: l'oppression commise par les Blancs masculins capitalistes) existe chez le féminisme et aussi chez le marxisme. Cette mentalité devient progressivement moins commune, en raison de la disparition du Marxisme. Le Marxisme a été à la pointe de ce qu'on pourrait appeler la «recherche de minorités opprimées». La stratégie Marxiste a été d'identifier ces groupes, et de les réunir en une «Coalition Arc-en-ciel» ou «Gauche Large». Le féminisme n'a pas tardé à annoncer aux femmes qu'elles étaient une minorité opprimée (malgré le fait que les femmes sont généralement majoritaires dans une société donnée).  Cela a donc rendu le féminisme et le Marxisme en alliés naturels politiques.

Une troisième raison que le féminisme est sapé, c'est que les Blancs sont progressivement moins dominants sur la scène mondiale, de sorte qu'ils deviennent progressivement moins d'un épouvantail.   Le colonialisme des Blancs d'outre-mer a presque disparu, et quelques autres pays (en particulier en Asie) sont considérés comme des leaders mondiaux présents ou futurs. Le centre de l'attention mondiale libérale va progressivement se tourner vers le colonialisme qui n'est pas d'outre-mer -- c'est-à-dire le colonialisme pratiqué sur leurs voisins d'antan tout au long de l'histoire du monde par tous les groupements politiques -- à partir des tribus jusqu'aux superpuissances. Ce processus aura tendance à affaiblir progressivement l'attaque unie sur les Blanc mâles et capitalistes.

Les hommes sont aujourd'hui une minorité opprimée dans la société occidentale. Ils sont une minorité réelle, bien sûr -- contrairement aux femmes, qui sont «habillées» par les Féministes en minorité opprimée. La comparaison des femmes avec les minorités opprimées a généralement été faite d'une manière complètement déséquilibrée. Il ya eu une chasse partiale aux similitudes entre les femmes et les groupes minoritaires réelles. Les différences évidentes entre les femmes et les minorités opprimées véritables, d'autre part, ont été résolument négligées.

Il existe des raisons objectives pour les changements récents dans les relations hommes-femmes: la pilule contraceptive, les appareils qui allègent le travail à la maison, ainsi que la mécanisation du lieu de travail sont arrivés. Ces changements l'ont rendu très probable que les femmes entreraient dans les lieux de travail en plus grand nombre, et de nombreux changements ont eu lieu à la suite de ce fait.

La propagande Féministe a facilité ce processus. En habillant les femmes en minorité opprimée, les Féministes ont pu obtenir un grand nombre de privilèges pour les femmes -- en plus de celles dont elles jouissaient déjà grâce à la chevalerie du sexe masculin.

Les Féministes croient à leurs propres mensonges. Elles ne cherchent jamais l'égalité avec les hommes là où les hommes sont dans une situation désavantageuse dans la société, par rapport aux femmes. Beaucoup de Féministes sont impitoyables dans l'utilisation de leurs positions de pouvoir pour faire avancer la cause Féministe. Jusqu'à ce que tout cela se change, il n'est pas nécessairement désirable qu'encore plus de femmes soient autorisées à pénétrer dans des positions de pouvoir encore plus grand.

Comme l'a dit le «faux prophète»:

«Il ne sert à rien d'exalter les humbles et les doux.

Ils ne restent pas humbles et doux une fois exaltés».

(Martin Burke, le «Faux Prophète» au Web: http://blog.jazy.net/1997/01/interview-with-the-false-prophet/)

Shulamith Firestone utilise le Marxisme comme point de départ, mais elle le dépasse trés tot. Ainsi ses idées pourront survivre relativement indemnes les événements géopolitiques récents qui ont discrédité le Communisme Stalinien comme il était en fait pratiqué dans l'ancien «Bloc Soviétique». Elle cite le théoricien Communiste Allemand  du 19e siècle Engels avec approbation, bien qu'elle pense qu'il ne va pas assez loin:

«Engels a en fait observé que la répartition initiale du travail était entre l'homme et la femme aux fins de élevage de l'enfant; que dans la famille le mari était le propriétaire, la femme le moyen de production, les enfants le travail; et que la reproduction de l' l'espèce humaine était un important système économique qui était distinct du moyen de production.» (Firestone, «The Dialectic of Sex» 1971, New York: Bantam, pages 4-5)

Même si l'on utilise un point de vue étroit et purement physique de la reproduction, l'analyse de Firestone est très déformée. Le mâle est (ainsi que la femelle) une partie des moyens de production sexuelle. Et de nombreux actes (non seulement un seul) de rapports sexuels sont généralement nécessaires avant qu'une fécondation ne se produît, et dans ces actes de coït le mâle consacre généralement beaucoup plus d'énergie que ne le fait la femelle. S'il y a des préliminaires, l'homme est généralement beaucoup plus énergique dans cette phase des rapports ainsi que dans le coït lui-même.

En outre, il varie grandement d'une culture à l'autre, et d'un temps à l'autre, qui, en fin de compte, est le «propriétaire» des enfants. Le test définitif, dirais-je, est de savoir qui obtient la garde des enfants en cas de séparation ou de divorce. Au monde occidental, c'est maintenant, et de plus en plus, la mère. Ainsi, au monde occidental contemporain, du moins, c'est la mère qui est le vrai «propriétaire» du «produit» -- car il est clair que, dans la plupart des cas, c'est la mère qui obtient la garde exclusive des enfants après un divorce ou une séparation.

En outre, la reproduction comprend, à vrai dire, toutes les années consacrées à l'élevage (l'alimentation, le logement, l'éducation, etc) des enfants. En règle générale, le père est le principal soutien de la famille, et il consacre une part importante de son revenu à cette fin. Si, comme indiqué plus haut, c'est la mère qui est le vrai «propriétaire» des enfants (dans le sens qu'elle obtiendra probablement la garde en cas de séparation ou de divorce), alors c'est en effet la mère qui exploite le père dans ce système économique-ci.

Le Féminisme fait tellement partie, de nos jours, des pouvoirs établis du monde occidental qu'il est difficile pour les gens -- en particulier, pourceux qui ont subi une indoctucation universitaire conventionelle -- de concevoir une vision alternative du monde quelconque. Un des contextes rares dans lesquels de telles visions alternatives du monde peuvent être entrevues est la description suivante du débat qui a précédé la mise en place d'un cours nommé «Introduction to Feminist Theory» dans une université américaine en 1980 environ:

«Il y a à peu près huit ans, quand j'ai décidé de développer au Williams College un cours intitulé «Introduction to Feminist Theory», plusieurs de mes collègues ont eu deux réactions prédominantes et pour la plupart contradictoires. Un collègue a décrit le cours comme étant «une polémique politique.»  Il s'est avéré qu'il considérait la théorie Féministe comme une idéologie monolithique dans lequel les étudiants sans méfiance seraient endoctrinés.  Un autre collègue a critiqué le cours pour des raisons qui étaient presque opposées:  Il ne voyait rien de théorique du tout dans la théorie Féministe.   Faisant écho à de nombreux critiqueurs de bonne heure de la pensée Féministe, il l'a décrit comme un mélange aléatoire de plaintes faisant remarquer, mais à peine analysant, l'assujettissement des femmes.» (Tong: «Feminist Thought: a Comprehensive Introduction,»   Boulder, Colorado: Westview Press, 1989, page 1)

Rosemarie Tong a remporté l'argument, et les étudiants à Williams College (comme ailleurs) auraient entendu peu plus sur aucun argument possible contre le Féminisme -- au lieu de cela, de nombreux étudiants presque sans méfiance seraient en effet endoctrinés dans une idéologie, qui, bien qu'elle ne fût pas monolithique du tout, était fondée sur l'axiome que les femmes étaient opprimées, et qui était consacrée à la libération des femmes de cette oppression supposée.

Il ya une certaine validité, aussi, à la critique que le Féminisme n'est pas tellement une théorie (ou un groupe de théories connexes) mais plutôt une collection non-systématique de plaintes (ou un «grondement organisé», que j'aime l'appeler).

«... L'attaque des féministes sur les hommes est aussi une des plus fortes mises en accusation de la science et de la méthode scientifique qu'il est possible de faire. En utilisant de généreux motifs scientifiques, il me semble clair que l'évidence que les féministes comme Kate Millet et Ti-Grace Atkinson utilisent pour soutenir leur cas est, en général, irresponsable dans sa sélection et ... interprétée d'une manière étroite et injuste ... » (Tiger: «Male Dominance ? Yes, Alas. A sexist Plot ? No,» réimprimé dans Ruth (1980), page 205).

Le niveau intellectuel des arguments avancés par les Féministes n'est généralement pas très élevé, parce qu'elles ne sont pas obligées de se défendre contre des critiques systématiques et organisées venant d'écoles de pensée opposées, comme cela arrive dans la plupart des disciplines universitaires. Les gens qui lisent ce que les Féministes écrivent sont généralement des «croyants», et tous les universitaires qui sont en désaccord sont généralement intimidés par la crainte de ce que les Féministes pourraient faire contre eux ou leur carrière s'ils exprimaient leur désaccord.   L'analogue le plus proche à un département d'Études des Femmes est donc un Collège de Théologie.

Une autre raison de la pauvreté du contenu théorique de la pensée Féministe, c'est que le Féminisme est d'abord et avant tout un mouvement politique, et seulement en second lieu une matière académique. Comme les Marxistes, les Féministes sont plus intéressées à changer le monde qu'à l'analyser. Ainsi, dans la plupart des cas, elles ne reculent pas simplement pour juger la société du coup d'oeil équilibré et rationnel. Au contraire, elles font à peu près autant d'analyse rationnelle qu'elles croient nécessaire pour appuyer leurs revendications politiques, ou pour en formuler de nouvelles.

Une troisième raison de la pauvreté théorique du Féminisme, c'est que le Féminisme décrit la société, ce qui signifie que la théorie Féministe ne peut pas être plus développée que l'est la sociologie dans son ensemble. Et je pense que beaucoup de gens seraient d'accord avec moi que la sociologie est loin d'atteindre le statut scientifique d'une matière comme la chimie, par exemple.

 

Préface

Introduction

Chapitre 1: Le Narcicissisme et le pouvoir politique féministes

Chapitre 2: La Circoncision

Chapitre 3: Le Viol: vouloir le beurre et l'argent du beurre

Chapitre 4: La Violence familiale et l'attrappe aux hommes

Chapitre 5: Les Accusations fausses et les mensonges au sujet de l'abus des enfants

Chapitre 6: Le Mensonge du «système de justice masculin»

Chapitre 7: L'emploi et le mensonge que «les femmes savent/peuvent tout faire»

Chapitre 8: Les Mensonges concernant l'éducation

Chapitre 9: Les mensonges, les sacrés mensonges, et les statistiques de l'ONU

Chapitre 10: Le Mensonge concernant «l'égalité»

Chapitre 11: Le Mythe du Choix et de l'avortement

Chapitre 12: Le Langage sexiste: Est-ce que la diable pense qu'elle soit mâle?

Chapitre 13: L'Indoctucation pratiquée par le complexe Média-universitaire

Chapitre 14: L'Illusion du décideur

Annexe: Les Manifestations historiques du Féminisme

Remarques

Bibliographie

FAQ

Webmaster

Peter Douglas Zohrab

Latest Update

15 June 2015

Top